Les colonies sont belles. On ne se doute pas de leur taille, il faut soulever l’isolant. L’hiver avec le froid, les abeilles peuvent avoir des difficultés à se déplacer vers les cadres garnis de miel, avec cet apport de fondant : elles sont parées !

BeePlanète a participé aux journées portes ouvertes et les abeilles ont accueilli avec les guides de sixièmes les enfants et leurs parents. tous le monde a pu déguster les miels 2024 et 2025 de l’établissement.

Aujourd’hui c’était livraison du miel : bonne dégustation !

Contrôle des ruches : tout va bien et installation d’un piège à frelons à pattes jaunes.

Cette semaine c’est collage d’étiquette.

Aujourd’hui c’est la récolte ! La plaque que l’on pose sur la hausse afin de récolter les cadres de miel sans les abeilles est parfumé avec un arôme d’amande amer, les abeilles n’aiment pas du tout car c’est très odorant et cela les empêche de communiquer en elles ! Alors elles descendent dans le corps de ruche et jnous pouvons donc récupérer les cadres sans elles ! Les hausses sont identifiées puis en route pour la miellerie …

Regardez l’activité intense devant les ruches aujourd’hui, à l’intérieur aussi il y a a une colonie affairée ! Et même s’il reste encore beaucoup de nectar, voici du miel.

Le groupe d’apiculteurs prêts pour la visite ! Il y a déja du miel dans les hausses alors tout le monde a pu y gouter après avoir regardé ce que nous avions dans la ruche !

Les jeunes apiculteurs du jour ont pu voir la reine, des ouvrières et des mâles : les faux-bourdons. On a vu qu’il y avait aussi des oeufs, des larves et des abeilles mâle et femelle en métamorphose dans les alvéoles. En ce qui concerne les réserves, on a aussi bien vu du pollen ou bien rangé, lui aussi, dans les alvéoles ou en transit sur les pattes postérieures des butineuses et bien sur beaucoup de nectar et de miel.

Nous avons contrôlé  le développement des colonies : tout se passe bien, il y a des oeufs, des larves et cette fois ci encore, nous voyons les reines. Non seulement des élèves de sixième ont pu regarder l’intérieur des ruches, mais aussi des élèves de terminal sont venus. Ils ont pu gouter le miel !

Les abeilles se développent bien, il y a du couvain d’ouvrières et aussi de mâles ou faux-bourdons, comme elles sont de plus en plus nombreuses dans les ruches, j’ai retiré les portes qui réduisaient l’entrée et ralentissaient le rythme des butineuses. Voici une collectrice de pollen avec deux superbes pelotes rousses.

Les hausses, annonciatrices de la saison sont arrivées, j’ai même donné accès à la première hausse pour les 2 colonies. Le couvain de mâles, qui dépasse de la surface des cadres comme les céréales « miel pops » annonce le début de la saison de reproduction chez les abeilles. Vos ruches ont un aspect différents, elles sont plus hautes que durant l’hiver avec les hausses. Et encore merci à l’apiculteur du jour pour son aide !

Il faisait beau et un peu chaud, ce n’était pas arrivé depuis le début l’automne. Cette petite abeille a fait sa toilette pour une des ses premières sorties.

Les abeilles sont groupées, elle n’occupent plus l’intégralité de la ruche. On dit que les colonies sont grappées. Pour être certaine qu’elles mangent à leur faim je leur ajoute du fondant, même si elles ont des réserves de miel de part et d’autre.

Ce mercredi après midi, il y avait foule pour visiter et tout savoir sur le lycée,  et déguster du miel malgré le froid, encore bravo pour votre accueil !

Sur la terrasse, les abeilles forme une grappe à l’intérieur de la ruche, elle sont occupées à se nourrir sur le fondant déposé le mois dernier. On peut observer le dard de l’abeilles ssur fond de fondant blanc, en effet, il fait froid et elles ne sont pas ravies de me voir, mais ne sont pas agressives pour autant !

Ce mercredi après midi, il y avait foule pour visiter et tout savoir sur le collège, et pour regarder les abeilles et déguster du miel. Bravo pour votre accueil !

Sur la terrasse, j’étais surprise de voir qu’il n’avait pas que les reines qui pondaient des oeufs. Elles ont de la concurrence : ceux des pigeons sont beaucoup plus gros !

Les abeilles, c’est fascinant. Je l’ai découvert lundi 23 septembre 2024 en séance de SVT avec notre professeur, Mme Petit, et l’apicultrice des ruches du lycée Rocroy, sur le toit du site Pétrelle. Nous avons enfilé des combinaisons d’apiculteurs et nous avons vu de magnifiques abeilles avec leur fourrure jaune et noire.

Ce jour-là, j’ai appris beaucoup de choses, comme : les abeilles vont butiner dans un rayon de 3 à 5 km autour de leur ruche. Ou encore que les abeilles ont une langue | L’apicultrice a d’ailleurs mis du miel sur sa main et une abeille est venue lui lécher les doigts.

Pour les apaiser, l’apicultrice leur a fait sentir une fumée qui avait l’odeur du barbecue, afin qu’elles soient calmes pendant notre visite qui pouvait les déranger. Ensuite, l’apicultrice nous a montré les « cadres ». Il y en a dix par ruche. Ils abritent les alvéoles. Pour ranger les cadres dans la ruche sans écraser les abeilles, l’apicultrice les a secoués en les replaçant à l’intérieur.

J’ai été très surpris quand j’ai vu que la reine des abeilles était deux fois plus grosse qu’une abeille normale et qu’elle avait un point vert sur le dos pour mieux la reconnaître.

Saviez-vous que les abeilles peuvent et aiment manger la pâte qu’il y a au-dessus des éclairs au chocolat ? Mais sans le chocolat bien sûr.

Nous avons aussi appris que les mâles ne servent à rien dans la vie quotidienne, sauf en période de reproduction. Et aussi que, l’hiver venu, les abeilles hibernent dans les alvéoles.

A un moment de l’atelier, nous avons soudainement vu ce qui me sembla être une abeille quatre fois plus grosse que les autres attaquer les ruches : un frelon avait déjà emporté deux abeilles pour son déjeuner !

Après cet incident, nous sommes repartis avec de bons souvenirs en tête.

Adam Landtsheere

6ème3

Un moment de partage de la vie des abeilles en compagnie d’élèves. Pour qu’elles passent l’hiver sereinement, nous avons posé les portes. L’entrée de la ruche étant plus étroite : les frelons sont cantonnés à l’extérieur.

Votre miel est arrivé, alors bonne dégustation !

Cette semaine nous collons les étiquettes sur vos pots !

Sibyle, l’apicultrice a mis une grille à reine entre le corps de la ruche et la hausse pour empêcher la reine d’y monter et d’y pondre.

Prfochaine étape dans deux semaines si tout se passe bien : première récolte de miel !

ça y est, le moment de la récolte est venu !!!

Bravo aux abeilles du site de Pétrelle, pour leur première année, elles ont réussi à collecter du nectar et à en faire du miel !!!!

Les ruches se portent à merveille !

On ouvre les ruches pour vérifier que les colonies vont bien.

Voici la reine.

Les cadres sont remplis de couvain (oeufs et larves), de pollen, de nectar et de miel

Le pollen provient de différentes fleurs et présente des couleurs différentes. Le nectar est brillant.

Voici une abeille à un des stades larvaires, elle va grossir, muer et se métamorphoser.

Bonjour à tous et à toutes, et bienvenue dans notre journal des abeilles !

Peut-être que certains d’entre vous sont au courant de cela, mais notre établissement vient d’accueillir des ruches sur le site de Pétrelle !

Toutes les photos ont été prises par moi-même.

En mars 2024, tous les sixièmes de Rocroy ont participé à un événement pour l’écologie : une liste de défis rapportant des points qui contribuaient à un classement d’équipes formées en classe, mais aussi un classement entre les 6 classes de sixièmes et un classement entre les 714 établissements qui ont participé à cette édition.

L’élève qui a réalisé le plus de défis dans sa classe a eu le droit d’assister à l’installation des deux ruches sue le toit du site du lycée.

Les 2 ruches installées sur me toit de Pétrelle

Il y avait beaucoup de monde ! M. Tranin, Mme Simon, Mme Baertich, Mme C. Petit, …

Pour le moment, deux ruches sont déjà installées. Qui sait, il y aura peut-être plus de ruches dans le futur ! Dans chaque ruche, on trouve 40 000 abeilles réparties dans des dizaines de rayons (les rayons sont les plaques où se trouvent les alvéoles). Nous ne pourrons déguster le miel de Rocroy qu’à partir de l’année prochaine, mais chaque personne qui participait à l’événement a eu le droit à un petit pot de miel produit par les abeilles dans leur habitat d’origine d’une centaine de grammes. Nos abeilles produisent 100 kilos de miel par an, mais nous n’en prélevons qu’une partie, car les abeilles doivent manger leur miel pour survivre en hiver.

Un rayon d’une des deux ruches.

Le pot de miel que chaque invité a reçu.

Merci d’avoir lu ce court article, et nous vous tiendrons au courant si il y a des nouvelles !

Un grand merci à :

Tous les participants des défis écologiques

Les apiculteurs

Les personnes présentes à l’événement

Et à Mme Petit !

Article rédigé par Aster Rossel (6°6)

A l’occasion de la visite de contrôle du 18 juin, nous nous sommes rendu compte qu’il serait une bonne idée d’ajouter des hausses. Ce sont des élément supplémentaires à poser sur les corps de ruches pour que nous puissions récolter le surplus de nectar récolté et  transformé en miel par les abeilles. Les hausses ont été ajoutées le 18. Les corps de ruches se sont remplis de nectar rapidement, on a aussi vu au moins 4 couleurs différentes sur les pelotes de pollen récoltées par les abeilles : elles ont donc accès à une nourriture diversifiée. Nous avons aussi gouté le miel : il est mentholé. C’est la signature du tilleul.

La météo était clémente en ce début juin. Merci beaucoup à tous pour l’accueil fait aux abeilles ! Les élèves ont pu toucher les abeilles au sens propre et voir une des deux reines. Ils ont aussi pu poser toutes les questions qu’ils avaient en tête à ce moment là. La prochaine étape : gouter le miel !