Les colonies sont belles. On ne se doute pas de leur taille, il faut soulever l’isolant. L’hiver avec le froid, les abeilles peuvent avoir des difficultés à se déplacer vers les cadres garnis de miel, avec cet apport de fondant : elles sont parées !

Les colonies sont en pleine forme,  les abeilles ne sont pas encore grappées, car il ne fait pas si froid. Les abeilles sortent même de la ruche et les fleurs sont toujours présentes sur la terrasse !

Les colonies se portent bien, les abeilles ne sont pas encore grappées, elles sont réparties dans toute la ruche et même encore sur les grilles à reine.

Aujourd’hui c’était la livraison du miel : bonne dégustation !

Cette semaine c’est collage d’étiquettes

Les colonies se portent bien, il y a de bonnes réserves, les ruches sont insoulevables. Deux des quatre colonies ont même rempli les nourrisseurs. Nous avons aussi rempli le bol d’appâts dans le piège à frelons.

Aujourd’hui c’est la récolte !  Il faut partir avec les cadres de miel en laissant les abeilles. On utilise pour cela une odeur d’amande amer ( arôme alimentaire) déposée sur le tissus sous la plaque noire, les abeilles n’aiment pas et elles désertent les cadres de hausses pour descendre dans le corps de ruches, il nous suffit après d’épousseter les dernières qui reste sur les cadres. Nous pouvons ainsi partir avec le miel sans les abeilles.

Voici la reine de la première ruche, du pollen de la deuxième et du miel de la quatrième pour les photos du jour.

Les abeilles continuent d’accumuler des réserves de pollen, au soleil c’est très joli ! J’aime beaucoup aussi lorsque j’ouvre la ruche et qu’elles sont toutes alignées, j’ai l’impression qu’elle me regarde, je pense qu’elles sont plutôt prêtes à réchauffer le couvain, car même au soleil, le fond de l’air est frais à cause du vent.

Les butineuse rapportent énormément de pollen, les reines vont bientôt faire un blocage de ponte. Cela arrive lorsque les alvéoles sont tous occupés par du pollen par exemple, elles ne trouvent plus d’endroit ou déposer des oeufs. Et c’est le tout début de la floraison du troène.

J’ai échanger la colonie qui avait des abeilles mortes devant avec une colonie en bonne santé. La colonie précédente, montrait des signe de présence du ABPV (Acute Bee Paralysis Virus), le virus de la paralysie aigüe à mon avis, pour en être certain il faudrait un vétérinaire et de toutes façon il n’y a pas de traitement, je vais juste la déposer dans notre rucher de quarantaine en grande banlieue où elle va tranquillement finir sa vie. Les cas similaires que j’ai pu observer montraient des colonies qui se maintenaient pendant 2 à 3 ans sans faire de miel.

Les abeilles ont accès à de nombreuses sources de pollen, on voit les différentes couleurs ! Sur la terrasse en ce moment elles se concentrent sur la sauge.

Les abeilles se développent bien, il y a du couvain d’ouvrières et aussi de faux-bourdons, Les reines ont un beau rythme de ponte en voici une bleue sur un cadre au soleil, ce qui pour une reine qui vit dans le noir doit être rare. Et pour rester dans le coté couleur voici une pelote de pollen rouge collée à la patte postérieure de la butineuse qui a fait la récolte.

C’était la visite de printemps ! Ça faisait longtemps que je n’avais pas soulevé les cadres des ruches pour ne pas refroidir les colonies, mais aujourd’hui c’était possible, rapidement car le vent était tout de même très froid ! Elles se développent bien pour deux et plus lentement pour les deux autres, on a vu deux des reines.

Les hausses, annonciatrices de la saison sont arrivées, les abeilles n’ont pas encore le droit d’y aller car ce nouveau volume serait difficile à chauffer. Elles dépenseraient toute leur énergie !

Les abeilles sont toujours grappées pour gérer au mieux la régulation thermique au sein de la colonie. Elles ont du miel dans la ruche, mais pour être certaine que cela va suffire, j’ajoute du « candi ». J’ai suivi la consommation du candi, entre les visites de fin Novembre, celle de Janvier et celle de Février, les abeilles ont très peu consommé. Lorsqu’il fait très froid, paradoxalement elles consomment moins que lors d’un hiver plus doux où elles sont plus actives et sortent voler, elles se dépensent plus et ont besoin de plus de glucide.

En cette fin de saison, les frelons asiatiques sont encore très pénibles et exercent une pression de prédation difficile à supporter pour les colonies d’abeilles. J’ai rechargé l’appât dans le piège.

Il reste encore de magnifiques fleurs à butiner sur la terrasse à Paris. Et dans votre rucher plus champêtre, nous avons reçu les plaques définitives pour identifier vos ruches.

Les abeilles sont encore bien nombreuses, les ruches sont lourde : il y a de bonnes réserves pour passer l’hiver. Espérons que les frelons ne se goinfrent pas trop…

Cette semaine nous collons vos étiquettes sur vos pots.

Et oui la saison apicole touche à sa fin ce mardi c’était récolte ! Nous partons avec les hausses afin d’en extraire le miel dans la miellerie, la partie délicate est de partir sans les abeilles. Les ruches sont moins hautes, elle reprennent leur taille de l’hiver.

La météo est nettement plus clémente cette semaine ! Les abeilles sont de nouveau nombreuses à travailler dans les hausses et elles ont aussi rapporté beaucoup de pollen.

Avec la météo particulièrement humide que nous subissons, je voulais vérifier que les abeilles n’étaient pas en manque de nourriture. Il leur reste un peu de nectar, ouf ! On voit bien les fleurs fanées qui ont une couleur plus fade que celles qui sont encore capable de produire du nectar. Dès que la pluie s’arrête, les abeilles voient très bien la différence de couleur entre les fleurs nectarifères et celles qui ne le sont plus.

A l’occasion de la journée mondiale des abeilles, les participants ont pu profiter de la douceur du miel mais aussi de celle des abeilles qui ont su les charmer.

Avec Alexandre, nous contrôlons la croissance des colonies : elles se développent bien ! Nous avons vu les 4 reines. Il y a déjà un peu de nectar dans les alvéoles. Les bourgeons floraux du troène de la terrasse commencent à s’ouvrir. C’est une essence dont les abeilles raffolent.

Les colonies sont en pleine forme ! Alexandre mon stagiaire pour la saison contrôle la présence de la reine : il y en a 4, une dans chaque ruche ! Elles vont pouvoir pondre et produire plein de butineuses en forme pour récolter du nectar et du pollen.