Il fallait qu’il fasse froid pour que les colonies de frelons périclitent et c’est ce que l’ont a eu fin novembre. Puis il fallait de nouveau des température supérieures à 10°C pour pouvoir transporter les abeilles. Les abeilles, lorsqu’il fait froid sont toutes serrées les une contre les autres et pendant le transport, les à-coups comme le passage de ronds-points, les ralentisseurs, nid de poule, … sont des facteurs qui peuvent faire tomber une partie de la grappe d’abeille. Les abeilles tombées n’ont plus la force de remonter, elles vont mourrir et la grappe est dépeuplée d’autant, donc il a fallu attendre les températures de cette deuxième semaine de décembre pour bouger.

Vos deux nouvelles colonies sont maintenant sur le toit ! Et les abeilles et moi avons pu dire au revoir à Pascal Simmons, un de leur admirateur passionné.

Les colonies étaient pourtant belles, mais elles ont périclité et sont mortes en un mois.

Si une colonie meurt, on pense souvent à un problème avec la reine (trop vieille, mal fécondée,…), la probabilité que les deux reines soient touchées est envisageable. Cependant on doit aussi penser, lorsque l’intégralité du rucher est touché, à un problème environnemental. En milieu urbain, il y a peu de pesticides, les abeilles sont malheureusement contaminées par l’eau. L’eau que les abeilles boivent peut contenir plein de polluants tueurs d’abeilles, comme de l’anti algue, de l’anti mousse ou n’importe quel solvant ou polluant utilisé dans la rénovation ou la construction de bâtiments. La présence de frelons peut aussi être un facteur mortel pour les colonies. (Sur votre rucher, je ne privilégie pas le facteur frelon parce que j’en ai vu très peu).

Dès que les températures remonteront un peu, je viendrait remplacer les ruches vides par des ruches pleines.

Les colonies sont en pleine forme, et il n’y a pas trop de frelon.

Super animation abeille, tous les volontaires ont pu manipuler les cadres. La météo était de notre coté et les abeilles étaient coopératives. On a même vu la reine !

Tournage : le Chef récolte la matière brute, le miel, pour un des ses magnifiques desserts !

Aujourd’hui c’était la livraison du miel : bonne dégustation !

Cette semaine c’est collage d’étiquette.

Aujourd’hui c’est la récolte ! Voici tous les protagonistes qui ont aidé à retirer les abeilles des cadres tout en gardant le miel. Ils ont aussi porté les hausses bien lourdes dans les escaliers et poussé le chariot tout aussi lourd dans les couloir ! Merci à vous tous !!!

Grande nouvelle nous avons vu la reine qui nous échappait jusqu’à maintenant, les photos viendront ! Voici un faux-bourdon avec un thorax clair. Et Cyprien  était votre contrôle qualité pour la visite !

Les abeilles ont bien commencé à remplir la première hausse dans la colonie ou on voit la reine ! Il y avait quelques ébauches de cellules royales, mais aucune n’était pondue, donc tout va bien ! (on a bien sûr vue la reine.) Dans l’autre colonies les abeilles on n’a pas vu la reine, mais il y a des oeufs donc elle est là. Nous sommes entre deux miellées, les robiniers pseudo-acacias sont sur l’extrême fin de la floraison, les troènes débutent juste et il nous reste environ une dizaine de jours avant le début de la floraison du tilleul, qui est attendue avec impatience !!! Quand le nectar ne coule pas à flot, les abeilles sont un peu moins charmantes ! (Encore merci à M. Simon pour les photos!)

Dans la première ruche, je profite d’avoir mon feutre sous la main pour une fois !!! Je remarque la reine, en effet quand les abeilles se frottent les une sur les autres, l’hiver lorsqu’elles sont grappées, la couleur s’efface. La reine de la deuxième ruche est toujours introuvable, elle est là, j’en suis certaine car il y a des oeufs, mais c’est une reine discrète. Les colonies sont belles et populeuses. (Merci pour les photos !)

Les abeilles se développent bien, nous avons contrôler la présence de couvain dans les deux colonies. Elène a pu découvrir le site et nous avons sanglé les ruches : en cas de coup de vent elles devraient garder tous les éléments les uns sur les autres. Et bonne nouvelle !!! Il y a déjà du nectar dans quelques alvéoles de la hausse que j’ai posé la semaine dernière !

Les abeilles se développent bien, il y a du couvain d’ouvrières et aussi de mâles ou faux-bourdons. Le couvain de femelle correspond aux alvéoles fermés mais qui ne dépassent pas de la surface du cadre, tandis que le couvain de mâles sont les petites « boules » visibles sur le cadre en bas à droite de la photo notamment. Les abeilles qui vont chercher le pollen sur les marronniers, qui sont en fleur en ce moment, sont couvertes de pollen orange. On a l’impression qu’elles ont un costume de petit renard.